La momification d' hunefer

LA MOMIFICATION D'HUNEFER.

Ce Papyrus provient d’une page du livre des morts de Hunefer. Il est actuellement visible au british Museum

Il décrit les rites de momification. Cela permet de conserver intact le corps du défunt. C’est une phase primordiale pour les Egyptien afin d’avoir accés à la vie eternelle.

La momification avait comme but principal de purifier et de rendre divin le corps.

La pièce maîtresse de la scène supérieure est la momie de Hunefer, soutenue par le dieu Anubis L'épouse et la fille de Hunefer pleurent ( elles se jettent de la poussière sur la tête, c’est leur façon de montrer leur tristesse )
Trois prêtres effectuent des rituels. Les deux prêtres avec les ceintures blanches effectuent l'ouverture du rituel de la bouche.

Le bâtiment dérrière Anubis est une représentation du tombeau, .
À la gauche du tombeau se situe la stèle qui sera présente à l'entrée du véritable tombeau d’Hunefer. Il est inscrit dessus toute l’adoration que porte Hunefer au dieu des morts Osiris.

À la droite de la scène inférieure, on trouve sur la table les divers instruments utilisés pour rituel de la bouche. Le rituel de la bouche consiste à extraire le cerveau du défunt pyuis injectr une résine liquide à l’intérieur du crâne qui se solidifait par la suite.

On retirait également les principaux organes, qui étaient ensuite déposés à l’intérieur de 4 canopés à l'image des quatre fils d'Horus.
À l'intérieur de la canope d'Amset, se trouvait l'estomac et le gros intestin. Dans celle de Hapy, le petit intestin, et celui de Douamoutef, les poumons. Enfin le foie, la vésicule biliaire se trouvait dans la canope de Kebhsennouf.

Par contre , le cœur était en règle générale laissé à sa place, car il représentait la conscience et les sentiments du défunt ; il ne devait pas être dissocié du corps.

Le coprs était ensuite rempli dans mélange d’herbe, de poudre et d’algues pour permettre sa conservation.

À la gauche on peut voir le sacrifice d’un veau. On lui coupe la patte antérieure afin de l’offrir au dieux.